
Depuis mon adolescence, je noircis des carnets, des feuilles volantes, des sous-bocks ou tout ce sur lequel on peut écrire – des mots, des textes, des gribouillages, puis plus tard des dessins, des idées, des projets. Plusieurs thèmes obsessionnels traversent ces pages, l’un d’eux revient inlassablement comme une quête inlassablement recommencée : la mémoire.